Les manifestants se rassemblent devant le nouveau bâtiment fédéral sur la septième rue à San Francisco, en Californie, le mardi 5 septembre 2017. Le rassemblement a eu lieu en réponse au retrait progressif du président Trump du programme d’action différée pour les arrivées d’enfants (DACA) au cours des six prochains mois. Le PDG d’Apple, Tim Cook, s’est exprimé avec les PDG de Microsoft et de Google et plusieurs autres leaders technologiques.
Ce n’est pas la première fois que les dirigeants techniques se penchent sur l’ordre du jour du président Ces mêmes hauts dirigeants, avec leurs homologues d’Uber, Intel, Netflix et d’autres entreprises, ont exprimé leur opposition à la première et deuxième tentative de l’administration. une interdiction de voyager. Amazon, Microsoft et Expedia, tous basés dans l’état de Washington, ont soutenu la plainte de cet état sur l’interdiction d’immigration, citant son effet probable sur leurs employés.
De nombreux responsables techniques ont également exprimé leur indignation face à la façon dont Trump a réagi à la suprématie blanche et au rassemblement nazi à Charlottesville, ainsi qu’à son tweet et à son ordre subséquent de maintenir les personnes transgenres hors de l’armée.
Historiquement, les chefs d’entreprise hésitent à commenter des questions politiques controversées, mais cela change non seulement parmi les leaders de la technologie, mais aussi dans d’autres industries, comme en témoignent les démissions du comité de fabrication de Trump, y compris les directeurs généraux de Campbell. Soupe, 3M, Merk et Under Armour, avec Intel et d’autres sociétés.
Chacun de ces dirigeants a ses propres raisons, y compris l’indignation morale. Mais un dénominateur commun est le soutien à leurs propres employés qui, dans certains cas, sont directement affectés par les actions de l’administration.
Par exemple, toutes les grandes entreprises technologiques ont des immigrants parmi leur main-d’œuvre qui peuvent être directement touchés par les changements apportés à la politique d’immigration. s’ils voyagent à l’étranger ou s’inquiètent de leur capacité à inviter des membres de la famille de leur pays d’origine à visiter ou à vivre avec eux. Collectivement, ces employés du monde entier sont essentiels au succès des entreprises technologiques et il n’est pas rare que des cadres supérieurs, y compris le fondateur de Google, Sergey Brin, le PDG de Microsoft Satya Nadella et le PDG d’Oracle Safra Catz, viennent d’autres pays. des pays.
Presque tous les 780 000 ‘rêveurs’ qui pourraient être expulsés de leur emploi et hors du pays si le décret exécutif de Trump n’est pas remplacé par une loi du Congrès, sont à l’école, dans l’armée ou sur le marché du travail et beaucoup travaillent pour les entreprises technologiques. Près coque protection s7 de 223 000 personnes dans le programme DACA vivent en Californie.
Dans un article, le président de Microsoft, Brad Smith, a déclaré qu’il connaissait au moins 27 employés de Microsoft bénéficiaires de DACA.
«Ce sont des ingénieurs logiciels dotés des meilleures compétences techniques, des professionnels de la finance qui dirigent nos ambitions commerciales et des associés aux ventes et aux ventes qui connectent les clients à nos technologies», a-t-il écrit, ajoutant: «Ces employés devraient continuer à apporter une contribution significative à la force et à la prospérité de notre pays. ‘
Dans un mémo adressé aux employés, le PDG d’Apple Tim Cook a déclaré qu’il était ‘profondément consterné que 800 000 Américains, dont plus de 250 de nos collègues Apple, se retrouvent bientôt chassés du seul pays qu’ils ont jamais appelé chez eux’.
Apple et Microsoft se sont engagés à fournir un soutien juridique à tous les employés concernés et les deux sociétés ont rejoint le chœur des dirigeants techniques exhortant le Congrès à adopter une législation pour permettre aux rêveurs de rester dans le pays.
Les leaders techniques parlent aussi collectivement. L’organisation adopte une position ferme en faveur du maintien du DACA et plaide pour une réforme de l’immigration qui «créerait une voie vers la citoyenneté pour 11 millions d’immigrants sans papiers vivant actuellement aux États-Unis et qui n’ont pas de statut légal». Ils ajoutent que ‘la réforme renforcerait également des millions de familles américaines’.
Les entreprises technologiques ont également fait pression pour protéger le programme de visa H 1B, qu’ils utilisent pour attirer des employés de partout dans le monde. L’administration Trump, avec un certain soutien des syndicats, veut réduire le nombre d’employés étrangers en faveur d’un programme «d’embauche américaine», mais les entreprises technologiques affirment qu’il y a une pénurie de travailleurs américains qualifiés pour des emplois qui sont maintenant pourvus. Titulaires de visa H 1B. Les critiques du programme H1 B prétendent qu’il est utilisé pour embaucher des travailleurs étrangers à des salaires inférieurs à ceux de leurs homologues américains.
Il est important de se rappeler que les entreprises technologiques se sont prononcées contre les politiques de l’administration Obama et que Apple est entré en guerre contre le département coque iphone 5s originale de la Justice d’Obama après que le FBI ait cherché à forcer Apple à développer un logiciel permettant au gouvernement de scruter la cellule. téléphone de l’un des tireurs de l’attentat terroriste de San Bernardino en 2015. Obama et les entreprises technologiques se sont également battus pour des informations personnelles collectées par l’Administration de la Sécurité Nationale et d’autres problèmes de surveillance, et il y a eu beaucoup d’escarmouches entre les entreprises technologiques et certains membres du Congrès. des questions telles que la neutralité du réseau, la proposition de réglementation de l’intelligence artificielle et des photo iphone 4 noir véhicules autonomes et diverses questions relatives à la vie privée et à la liberté d’expression..